Exploring an Olympic “legacy”: Sport participation in Canada before and after the 2010 Vancouver Winter Olympics
Auteurs: Thomas A. Perks
Aperçu
Résumé (français)
Inspirée par la notion de l’effet de retombée, la présente étude examine si la participation sportive au Canada a augmenté à la suite des Jeux olympiques d’hiver de 2010 à Vancouver. Les résultats de la comparaison des taux de participation au sport avant et après les Jeux utilisant des données représentatives au niveau national, suggèrent que les Jeux olympiques ont eu pratiquement aucun impact sur la participation sportive au Canada, même s’il semble y avoir un faible “rebond” dans la participation au sport dans la région de Vancouver immédiatement après les Jeux. Cela étant, si l’effet de retombée s’est produit, l’analyse suggère qu’il a été modeste et de courte durée et on l’a ressenti seulement localement.
Résumé (anglais)
Guided by the notion of a trickle-down effect, the present study examines whether sport participation in Canada increased following the 2010 Winter Olympics in Vancouver. Comparing rates of sport participation prior to and following the Games using nationally representative data, the results suggest that the Olympics had almost no impact on sport participation in Canada, although there does appear to be a modest “bounce” in sport participation in the Vancouver area immediately following the Vancouver Games. As such, if the trickle-down effect did occur, the analysis suggests that the effect was locally situated, short-lived, and small.
Détails
Type | Article de journal |
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Auteur | Thomas A. Perks |
Année de pulication | 2015 |
Titre | Exploring an Olympic “legacy”: Sport participation in Canada before and after the 2010 Vancouver Winter Olympics |
Volume | 52 |
Nom du Journal | Canadian Review of Sociology |
Numéro | 4 |
Pages | 462-474 |
Langue de publication | Anglais |
- Thomas A. Perks
- Thomas A. Perks
- Exploring an Olympic “legacy”: Sport participation in Canada before and after the 2010 Vancouver Winter Olympics
- Canadian Review of Sociology
- 52
- 2015
- 4
- 462-474