Aperçu

Résumé (français)

Depuis quelques décennies, le Québec s’est doté de lois et de politiques visant à accroître la participation sociale des personnes handicapées. Parmi les gestes récents posés en ce sens, soulignons l’adoption de la Loi assurant l’exercice des droits des personnes handicapées en vue de leur intégration scolaire, professionnelle et sociale et de la politique À part entière : pour un véritable exercice du droit à l’égalité. Un des maillons essentiels de la participation sociale est la réalisation adéquate des activités de la vie quotidienne (par exemple, les soins personnels et les déplacements à l’intérieur du domicile) et domestique (par exemple, la préparation des repas, les travaux ménagers courants et les courses). Le niveau d’accomplissement de ces activités détermine en partie dans quelle mesure un individu peut pratiquer d’autres activités, comme celles liées à la formation, à l’emploi, aux loisirs ou à l’engagement communautaire, et participer activement à la société. De plus, la réalisation adéquate des activités de la vie quotidienne est nécessaire au maintien d’une qualité de vie raisonnable en dehors des institutions. Pour accomplir ces activités, certaines personnes ont parfois besoin d’être aidées par autrui parce qu’elles éprouvent de la difficulté à les faire ou sont incapables de les faire, en raison d’un état physique ou mental ou d’un problème de santé. Au Québec, les résultats d’enquêtes menées au cours des dernières années montrent que le besoin d’aide humaine (provenant d’un parent, d’un ami ou encore d’une personne bénévole ou rémunérée) pour accomplir l’une ou l’autre des activités de la vie quotidienne ou domestique est assez répandu chez la population vivant avec une incapacité.

Résumé (anglais)

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