Aperçu

Résumé (français)

Rapport de 2018 sur le rendement du système de lutte contre le cancer Le Rapport de 2018 sur le rendement du système de lutte contre le cancer compare les provinces et les territoires dans les secteurs clés des soins liés au cancer, de la prévention jusqu’au traitement et à la survie au cancer. Il s’agit du plus récent rapport d’une série qui fait la lumière sur les secteurs clés du système canadien de soins liés au cancer afin de mettre en avant ceux qui fonctionnent et ceux qu’il faut améliorer. Il y a 10 ans de cela, peu de renseignements sur la qualité des soins liés au cancer dans l’ensemble du Canada étaient disponibles systématiquement. Au cours des neuf dernières années, le Partenariat a travaillé avec un réseau de partenaires nationaux, d’organismes provinciaux de lutte contre le cancer et d’autorités territoriales de la santé pour recenser les données qui existent et que l’on peut mesurer, ainsi que pour favoriser des changements en matière de politiques et de pratiques afin d’améliorer la prestation des services de cancérologie et l’expérience des patients. Faits saillants du Rapport de 2018 sur le rendement du système de lutte contre le cancer Plus de Canadiens que jamais survivent au cancer. Un taux élevé de vaccination contre le VPH, accompagné d’un dépistage efficace, pourrait permettre d’éliminer le cancer du col de l’utérus au Canada, mais la maladie a tout de même coûté la vie à environ 400 femmes l’année dernière (Société canadienne du cancer, 2018). Un trop grand nombre de Canadiens reçoivent encore des diagnostics de cancers évitables. Le Partenariat aide les provinces et les territoires à travers le Canada à élaborer des politiques visant à réduire le tabagisme, en plus de déployer des efforts importants pour améliorer la santé pulmonaire au Nunavut. Les Canadiens attendent encore trop longtemps pour obtenir des tests diagnostiques afin de déterminer s’ils ont un cancer : il faut donc prendre des mesures afin de réduire les temps d’attente et de simplifier les recommandations. Les patients qui subissent un traitement contre le cancer souffrent de symptômes comme la fatigue, la douleur, l’anxiété et la dépression et, souvent, ils n’arrivent pas à recevoir le soutien dont ils ont besoin pour répondre à leurs préoccupations. Il faut poursuivre les travaux pour aiguiller les patients vers les vastes ressources offertes partout au pays.

Résumé (anglais)

The 2018 Cancer System Performance Report compares provinces and territories in key areas of cancer care from prevention through to treatment and survivorship. It is the latest in a series of reports that shine a light on areas of Canada’s cancer system to show what’s working and where improvements are needed. 10 years ago, there was little consistently available information on the quality of cancer care across Canada. Over the past nine years, the Partnership has been working with a network of national partners, provincial cancer agencies, and territorial health authorities to identify what data exists and can be measured, to drive policy and practice changes to improve the delivery of cancer services and patient experience. Quick facts from the 2018 Cancer System Performance Report 1. More Canadians are surviving cancer than ever before 2. A high rate of HPV vaccination, along with effective screening has the potential of eliminating cervical cancer in Canada, but the disease still killed ~400 women last year (CCS 2018) 3. Too many Canadians are still being diagnosed with preventable cancers. The Partnership is helping jurisdictions across the country develop policies for reducing smoking and is launching a substantial effort to improve lung health in Nunavut. 4. Canadians are still waiting too long for diagnostic tests to identify whether they have cancer showing there is a need for more action to reduce wait times and streamline referrals 5. Patients going through cancer treatment suffer symptoms like fatigue, pain, anxiety and depression and are often unable to receive support they need to address their concerns. More work is needed to link patients to the vast resources available across the country.